Dans la nuit, pas un bruit,
Pas un chat sauf dans mon lit,
Qui ronronne et qui dors, lui !
J’écoute le silence infini,
Depuis des mois, je ne dors plus,
Accablée par cet amour déçu,
Par ton absence, abattue.
Plus de rêve, plus de cauchemar non plus.
J’attends des heures que Morphée vienne,
Que dans ses bras, elle me prenne,
J’attends, j’attends tranquillement,
Sans impatience, obstinément,
Que ma tête veuille bien s’éteindre,
Que le sommeil veuille bien m’étreindre.
Sans commentaire