Dans ma poitrine, mon coeur,
Déborde et pleure,
Véhiculant ma peine,
Dans chacune de mes veines,
Il se déverse sans fin,
En cascade de chagrin,
Reflétant cette tristesse dans mon regard,
Vitrine évidente de mon cafard.
Le sommeil disparu,
Les cernes apparues,
Mes yeux humides ne peuvent taire,
La blessure délétère,
Provoquée par l’avalanche,
Que ton départ déclenche,
Cette déchirure qui me ronge en dedans,
Mon âme détruisant.
Sans commentaire