Je déteste les dimanches,
Où le cafard vient me tirer par la manche,
Et me tenir compagnie,
Avec la solitude, son amie,
Où ton absence est dans tous les coins
Où ton ombre plane dans chaque recoin,
Triste et perdue, le cœur lourd,
Les larmes laissant échapper mon amour.
Je déteste ce silence assourdissant,
Qui envahit l’espace, incessant,
Qui vient avec ses pourquoi sans réponses,
Qui dans la déprime m’enfonce.
Je déteste les dimanches,
Où le cafard vient me tirer par la manche,
Et me tenir compagnie,
Avec la solitude son amie,
Je ressens alors le manque de tes mots,
De La douce brûlure de l’effleurement de ta peau,
De ta présence comme une caresse,
De nos ébats plein de tendresse.
Ils me remplissent du vide que tu as laissé,
De la souffrance qui n’a jamais cessée,
De l’envie immuable de te retrouver,
De rêves qui ne peuvent plus exister.
Nous rejoint alors leur consoeur la peine,
Et avec elle, l’envie me jeter dans la Seine.
Sans commentaire