L’homme propose, la femme dispose,

Mais quand c’est avec force qu’il s’impose,

Ses 50 kg sous ses 90 ne font pas le poids,

Et, malgré la résistance, inégal est le combat.

Elle ne peut pas lutter,

Il l’écrase, il l’étouffe, surexcité,

Son corps se braque mais il la soumet,

Il la prend avec violence et vulgarité.

Donne-moi ta chatte a-t-il gueulé,

Pendant qu’elle lui hurlait d’arrêter,

Pendant qu’elle criait, tu me fais mal,

Et que chaque coup de rein devenait plus brutal.

Heureusement, ce fut bref, l’excitation de la soumission le faisant éjaculer,

Plaisir intense de la dominer,

Comme tout ces grands males,

Du règne animal.

Rasséréné, il sort d’elle aussi vite qu’il est entré,

Sans plus de considération pour sa proie blessée,

Sans regarder derrière lui, sans remord, il se rhabille,

La laissant là et s’enfuit.

Au sol abasourdie, anéantie,

Incapable de mettre un mot, en cet instant, sur ce qui vient de se passer,

Incapable de réagir, incapable de pleurer,

Dans sa tête juste la culpabilité,

De l’avoir laissé, chez elle, entrer,

Elle n’est plus que douleurs physiques et morales,

Dans son corps violenté, elle a mal,

Elle n’est plujs que douleur,

Elle n’est plus que douleur,

Elle file sous la douche pour enlever les traces et l’odeur,

Collées à son corps et qui lui soulèvent le cœur.

Elle sait déjà que pour oublier, il lui faudra être patiente,

Et au fond d’elle-même remercie dieu d’être encore vivante.

Echange

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