J’aime qu’après nos corps à corps,
Nous savourions encore,
Quand la sexualité,
Devient sentimentalité,
Que s’éternisent les caresses,
Convertit en un flot de tendresse,
Nos mains jouant amoureusement sur notre peau,
Dans nos cheveux, sur nos dos,
Que ma bouche s’attarde doucement,
Affectueusement,
Sur ton épaule, dans ton cou,
Pas assouvie du tout.
J’aime m’engourdir de cette chaleur,
M’enivrer de ton odeur,
Le temps comme arrêté,
Rassurée, apaisée, comblée,
Et enfin, l’un contre l’autre nous blottir,
Et d’un même sommeil, nous endormir.
Sans commentaire