Quand toutes les larmes sont versées,
Que tous les mots se sont usés,
Que cœur et yeux sont asséchés
À force d’avoir trop pleuré,
Pleine de force et d’amertume,
En face de cet amour posthume,
On enfile un nouveau costume,
Un masque de clown triste, qu’on assume
L’on se projette loin devant,
Se jurant d’aller de l’avant
Malgré les marées et les vents
Debout et fière par tous les temps.
Sans commentaire