Je ne pensais pas avoir cette bouffée d’amour,
En provoquant ton retour.
Comme si toutes ces années,
Avaient laissé pousser
Une plante géante,
Dans cette plaie béante,
Causée par ton absence.
Une liane forte et dense,
Une belle romance
Dont tu es la semence
Le jardinier de charmes.
Arrosée par mes larmes,
Qui coulaient, intérieures
Elle a pris forme et vigueur,
Pour renaître aujourd’hui
En une immense fleur jolie,
La fleur d’amour aux douces odeurs
De vie et de bonheur,
Affichant sur nos lèvres, un sourire,
Nous enivrant de désirs,
Nous étourdissant de plaisir,
Ne demandant, encore et toujours, qu’à s’épanouir.
Sans commentaire