A ma grand-mère, je disais,

Que jusqu’au ciel, je l’aimais,

A 4 ans, c’était naïf,

Mais pas pour autant excessif,

Je l’aimais plus que tout,

Je l’aimais un point c’est tout.

A toi, c’est en toute conscience,

Après avoir pris alliance,

Que j’ai promis,

Plus que mon amour à vie,

J’ai juré, jusqu’après ma mort,

De t’aimer encore et encore,

Pas pour battre un record,

Mais parce que je t’aime fort.

Je sais, je t’ai déçue,

Et peut-être ne m’as-tu pas cru,

Tu as pris tes bagages,

Pour un autre voyage,

Et ces sentiments si puissants,

Se sont accrochés en mon cœur, t’attendant,

Comment auraient-ils pu s’évanouir,

Ne me restait plus qu’à souffrir,

A supporter cette affliction,

Causée par cette ardente passion.

Comme une évidence,

Tu étais l’homme de mon existence,

J’avais fait cette promesse,

Qui n’avait de cesse,

T’aimer au-delà du dernier port,

T’aimer jusqu’après ma mort,

Comme tu es revenu,

Mon doux serment sera tenu,

Tu seras celui qui m’accompagnera,

Dans les ténèbres de l’au-delà.

Echange

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