Je regarde derrière ma fenêtre,
Comme un chien qui attend son maître,
Pourtant, je n’attends plus rien, il est tard, il fait nuit,
Dehors, quelques personnes encore, s’ennuient,
Là, juste en face.
Des voitures de temps en temps passent,
La solitude me pèse,
Espérant qu’elle ne soit qu’une parenthèse,
Le manque d’amour se fait sentir,
Les jours s’étirent,
Tu ne me manques plus,
La vie continue,
J’aimerais juste quelqu’un à qui parler,
Un homme pour m’accompagner,
Des bras pour me cajoler,
Juste un coeur à aimer.
Sans commentaire