Si j’avais seulement pu croire que tu existais
Qu’à deux pas de moi, tu vivais,
Je te jure que je t’aurais chercher,
De toute mes forces, ton prénom j’aurais crié pour t’appeler,
J’aurai tout bougé,
Tout déplacé pour te trouver,
Moi, la mécréante, j’aurais prié,
Et dieu, j’aurais pu vénérer,
Pour sur ton chemin me retrouver,
Et ta main dans la mienne agripper,
Toi, blessé,
Moi, meurtrie et cassée,
Tous 2 avec des cœurs fêlés
Et des rêves à imaginer
Le hasard nous a uni,
Nos 2 cœurs a enfin réunis
Depuis, je me sens entière
Et nos rêves dépassent toutes les frontières,
Dans la complicité
Et dans la simplicité,
Je te l’avoue dans ce poème,
Mon amour, je t’aime.
Sans commentaire