C’est un de ces matins où l’avenir semble flou

On avance mais on ne sait pas bien où,

Difficile de voir plus loin que le bout de son nez,

Compliqué dans ces conditions de se projeter.

Pas à pas, doucement, on tâtonne,

Dans cette brume, on se questionne,

Par ici ou par là, quel serait le mieux ?

Fatigué, déboussolé, on se sent vieux.

Puis d’un seul coup, vient la lumière,

Finis les doutes, on y voit plus clair,

Levé le voile, tout devient net,

Quelle belle invention que les lunettes.

Echange

3 commentaires

Ah j’aime la chute!!

Idem, j’aime beaucoup la chute.
D’ailleurs sans ses lunettes, la chute n’est pas loin.

Le dernier commentaire de Lionel sur mon mail perso :

Je vais très peu actuellement sur l’ordinateur, c’est pourquoi nous venons seulement de découvrir votre poème. GENIAL !  Au fil des lignes, superbement harmonisées, on se demande bien où vous voulez en venir… et la surprise arrive à la fin… les lunettes ??? Nous n’y avions pas pensé un seul instant, vous oui… quelle imagination ! Bravo, ce poème peut rejoindre celui de « la fourchette » ! Merci de nous en faire profiter en avant-première ! Je crois que nous vous les achèterons tous les deux lorsque l’on se reverra. Votre talent n’a pas de limites décidément. BRAVO, il n’y a vraiment que vous pour penser à poétiser sur les lunettes ou la fourchette !!!

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