Le WE ça rit, ça fait la fête,

Mais la semaine, ça se fait la tête.

Ils se disputent dans la maison,

Des toilettes au salon,

Ils crient, ils s’insultent,

Toujours en lutte,

Je ne comprends pas pourquoi,

Je n’ai que des éclats de voix,

Forts, violents,

Percutants et récurrents.

Ils ne se tapent pas dessus,

En tout cas, je n’ai jamais entendu,

Mais c’est quasiment tous les jours,

Ce qui me fait craindre pour leur amour.

Les noms d’oiseaux que je perçois parfois,

N’ont rien de jolis mots d’amour ma foi,

Leurs querelles n’ont pas d’heure,

Quelquefois aux aurores,

A peine le pied parterre,

C’est déjà la guerre,

Dans la journée sans mentir,

Des colères à n’en plus finir,

Et le soir, celles qui finissent à n’en pas douter,

A l’hôtel du cul tourné.

Leur vie n’est qu’affrontement,

Sans doute un mode de fonctionnement,

Qui les fait tenir et rester ensesmble,

Quand je partirais, il me semble.

Echange

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