EFFRONTEE
La pluie tombe à gros bouillon,
Ni parapluie, ni capuchon,
Dans la rue, personne,
Aucun son qui résonne,
Juste le chant des gouttes,
recueil 5
La pluie tombe à gros bouillon,
Ni parapluie, ni capuchon,
Dans la rue, personne,
Aucun son qui résonne,
Juste le chant des gouttes,
Tic, tac, tic, tac… le temps qui passe ne s’attrape pas
Tic, tac, tic, tac… Le temps qui passe ne reviendra pas
Enfant, la vie va lentement,
On aspire à devenir grand.
Pourtant, le …
Sur ma glace,
La vapeur d’eau envahit l’espace,
Mon visage s’efface
Pour laisser à d’autres la place.
Venus de l’enfance,
des amis auxquels …
Aguicheuse,
Fraîche et lumineuse
On la devine délicieuse,
Dans son aube légèrement brumeuse,
Mi février,
L’hiver est loin d ’être …
Les souvenirs d’école de mon enfance,
Sont un mélange de sons et de fragrances.
Le fumet de l’automne sur le chemin
Tenant ma grand-mère par la main,
L’estomac serré, mais fière, tout de neuf …
Les jours défilent avec lenteur,
L’envie s’est endormie dans la torpeur,
Mon existence est shakespearienne.
Les griffes du lit me retiennent
Dans un demi …
C’est un bout de terre
Entre ciel et mer,
Un bouquet de souvenirs
Entre dolmens et menhirs
Un tout petit lopin,
Avec construite de tes mains
Une maison de poupées,
Changeant de couleurs au gré des années.
Juste …
Je ne veux plus jouer au yoyo,
Que tu souffles le froid et le chaud,
N’être jamais à hauteur,
Subir tes sautes d’humeur.
Les « je t’aime, moi non …
Tu es mort, une première fois,
Lorsque ta moitié s’est endormie pour l’éternité,
Te plongeant dans le désarroi,
Plein de tristesse, anéanti et esseulé.
Dans ma maison, vit un oiseau de toute beauté
Bleu vif, blanc et violet,
C’est un inséparable, séparé.
Son compagnon est mort, l’été dernier,
Mais loin d’être chagriné,