Est-ce la peur de la mort,

Qui fait trembler leurs mains et leur corps,

Est-ce d’avoir trop pleurer,

Que leurs yeux coulent encore et sont toujours mouillés,

La glace des coeurs endurcis,

Qui, a leurs cheveux blanchis,

Le travail qui a marqué leurs traits,

Masqué leurs attraits,

Cernés leurs yeux, ridé leur peau,

Courbé leur dos,

Est-ce d’avoir traversé la vie et ses difficultés,

Qui fait qu’ils préfèrent oublier.

Les marques du temps,

Viennent obstinément,

Et jamais n’abandonnent,

N’épargnant personne,

Mais il faut bien avouer qu’elles n’ont pas le même poids,

Que tu sois valet ou roi.

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